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Comment élever un enfant pour qu’il devienne ce qu’il est de mieux ?

élever un enfant

Combien sommes-nous, à arriver à la trentaine, ne sachant toujours pas ce pourquoi nous sommes faits ? En continuant à chercher le job qui nous conviendrait le mieux, le fameux qui nous fera lever chaque matin avec enthousiasme, et qui nous permettra de nous épanouir bien plus qu’aujourd’hui ? Et si nous pouvions élever notre enfant pour qu’il n’ait pas à se poser cette question ?

Comment élever son enfant pour qu’il devienne un adulte épanoui ?

Notre enfant, comme nous-même, donnera le meilleur de lui-même s’il est épanoui dans ce qu’il fait, si son quotidien est en accord avec sa personnalité. Car plus nous évoluons dans un environnement où nous nous sentons bien, où nous pouvons être nous-même, plus nous sommes heureux et donnons le meilleur de nous-même.

Plus nous aimons ce que nous faisons, plus nous allons nous investir, et apporter notre plus belle contribution. C’est la raison pour laquelle on pourrait se demander : à quoi bon pousser notre enfant à dépenser beaucoup d’efforts pour être ce qu’il n’est pas, alors que faire ce qu’il aime, lui permet d’exceller, et lui demanderait bien moins d’effort ?

Contrairement à toutes nos idées reçues, ce n’est pas lorsque nous redoublons d’efforts que nous donnons le meilleur de nous-même.

Mais au contraire lorsque ce que nous faisons nous demande peu d’effort, car parfaitement en accord avec nous-même.

Pas plus tard qu’hier j’étais à un séminaire d’intégration dans le cadre de mon entreprise. Les “speakers”, tous de haut niveau, se sont succédés lors de cette journée pour nous présenter les différentes facettes de l’entreprise.

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Certains “speechs” étaient bons, d’autres exceptionnels. La différence ? Non pas que certains avaient mieux préparé leurs speechs que d’autres, ou étaient moins ‘intelligents’ mais plutôt que certains étaient plus passionnés par ce qu’ils faisaient que les autres. Ces derniers étaient en totale osmose avec leur job, et leur enthousiasme rayonnait sur les auditeurs. Et même si les autres avaient davantage préparé leurs discours, même s’ils avaient beaucoup plus travaillé, ils nous transcendaient moins, car ils étaient moins en totale osmose avec eux-mêmes.

Alors bien sûr, travailler dur pour s’améliorer permet de se sentir plus performant que la veille, de ‘progresser’, ce qui contribue à notre bonheur. Mais ce que nous faisons plus par nécessité que par désir, ce que nous faisons parce « qu’il faut le faire », et non par plaisir à le faire, cela s’appelle des « saboteurs ».

Cela peut marcher, mais nous perdons notre temps, car l’effort sera plus intense, pour finalement être moins efficace et obtenir des résultats moins satisfaisants que si nous réveillons en nous un moteur (ou empruntons un chemin différent pour atteindre notre objectif), qui fait que nous prenons du plaisir à faire ce que nous devons faire.

Nous avons tout intérêt à choisir de nous aligner avec nous-mêmes, afin d’exceller dans les domaines qui nous conviennent les mieux.

D’ailleurs, pour prolonger cette idée, je vous ai rassemblé le fruit de mes recherches dans un pack « CONFIANCE EN SOI » : Tout pour que nos petits croient fort en eux ! », truffé d’idées diverses et variées. Pour le recevoir (gratuitement bien sûr), laissez-moi simplement votre email ci-dessous, et je vous l’envoie illico dans votre boîte mail.

Alors comment fait-on pour s’aligner avec soi-même, et exceller ?

Il faut trouver nos ‘saboteurs’ et nos ‘marqueurs’.

Les saboteurs sont tout ce que nous faisons par devoir plus que par motivation (faire des calculs, écrire pour certains, rester chez soi pour d’autres, etc.), et engendrent généralement chez nous des émotions négatives (ennui, découragement, colère, agacement). Les marqueurs sont tout ce que nous faisons ou que nous recevons et qui nous permet de nous sentir bien (créativité pour les uns, pour d’autres surprises, apprentissage de nouvelles choses, relations avec les autres, …) etc.

Prendre conscience de ses saboteurs et de ses marqueurs représente 80% du job. Se défaire de nos a priori, de tous ces idéaux que nous aimerions être, mais que nous ne sommes pas, est la clé vers notre épanouissement. C’est ainsi que l’on va pouvoir être acteur de notre vie, éviter au maximum les contraintes, pour chercher à faire ce qui nous fait véritablement “kiffer”.

Au final, notre entourage, et même notre entreprise vont y gagner. Car plus on va kiffer, plus on va donner le meilleur de nous-même, et notre épanouissement va rayonner sur notre entourage.

N’avez-vous d’ailleurs pas remarqué que les personnes qui se comportent mal avec les autres sont généralement des personnes qui n’ont pas totalement confiance en elles, ne sont pas vraiment épanouies, etc. Il n’y a donc rien d’égoïste à prendre soin de soi.

Et notre enfant dans tout ça ?

Vous l’aurez compris, pour que notre enfant donne le meilleur de lui-même, pour qu’il soit épanoui, il ne faut pas chercher à ce qu’il devienne ce qu’on a envie qu’il soit. Car plus on va lui mettre dans la tête qu’il faut qu’il soit quelqu’un de trop éloigné de ce qu’il est vraiment (calme alors qu’il est énergique, attentionné alors qu’il est rêveur, matheux alors qu’il est manuel, studieux alors qu’il est passionné de musique, etc.), plus il va s’éloigner de lui-même. Il va alors dépenser beaucoup d’efforts pour être ce qu’il n’est pas, peut-être même devenir ‘bon’ dans des études non faites pour lui, trouver un job ‘intéressant’ mais qui ne l’intéresse pas, mais sera bien loin de l’épanouissement qu’il aurait pu avoir si on l’avait plutôt incité à exceller dans ce qu’il est. Sans compter que, concernant son épanouissement, son bien-être aura rayonné sur toute sa personne et ses défauts prendront moins d’importance.

Et de façon plus terre à terre, pour qu’un enfant donne le meilleur de lui-même dans les tâches quotidiennes, il faut savoir le MOTIVER, et non le contraindre.

Si nous arrêtions de donner de l’importance aux choses parce qu’il FAUT les faire, et si nous essayions plutôt de trouver ce qui le motiverait ? Non seulement cela lui demanderait moins d’efforts, mais en plus il le ferait avec davantage d’implication et de talent.

Élever un enfant : conclusion

Élever son enfant, ce n’est pas le contraindre pour son bien, mais trouver ce qui le motive pour qu’il soit bien. L’élever ce n’est donc pas faire de lui ce que l’on veut qu’il soit, mais faire de lui ce qu’il est de mieux.

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Commentaires

0 thoughts on "Comment élever un enfant pour qu’il devienne ce qu’il est de mieux ?"

  1. Laetitia dit :

    Votre article me fait penser à ces adultes qui ferment des portes à leur enfant sur le choix de leur métier. Il se peut que l’enfant choisisse son métier en fonction des portes restées ouvertes alors qu’il n’était pas fait pour ce travail. Un enfant redouble le cp; et on le convainc qu’il n’est pas fait pour un métier avec un haut niveau d’études. Mon mari, ingénieur dit à son neveu “tu sais si t’es plombier il se peut que tu gagnes ta vie mieux que moi”, parce qu’il a des difficultés scolaire alors qu’il n’a que 8 ans. Ce n’est pas parce que un enfant a des difficultés en début de scolarité qu’il en aura tout au long de sa scolarité. Plombier est un métier où il faut un talent, ce serait dommage qu’il fasse ce métier juste parce que c’est ce qu’on lui a destiné alors que s’il faut son talent est ailleurs. Ces difficultés actuelles ne demandent qu’à être surmonter.

  2. isanel dit :

    ça veut dire, faire attention à la phrase “ce qui est important, c’est de se donner de la peine…” et la remplacer par ” ce qui est important, c’est que tu aimes le faire” ? J’ai bien compris le sens de l’article?

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